Why I’m a Pirate!

Traduction française

Pirate

Dear copyright industry, I’m a pirate. I’m the typical user you are fighting. I’m downloading everything and not giving you one single penny. I don’t even attend concert. You hate me and it’s reciprocal.

When I discovered high-speed Internet, I was a naive young innocent. I was downloading to discover new stuffs. Whenever I liked something, I would go to the shop and buy the CD. I discovered lot of music thanks to the pirate networks. Randomly or following advices. In the end, I bought something like 200 CDs. The first group I’ve joined on Audioscrobbler was called « I still buy CDs« . But today I regret that. I’m asking everyone to not buy CD any more. Not a single one !

Pourquoi je suis un pirate !

English translation

Pirate

Chers industriels de la musique, du cinéma et du divertissement, je suis un pirate. Je suis l’archétype de l’internaute que vous combattez. Je télécharge tout et ne vous reverse pas un seul centime. Je ne vais même pas aux concerts. Vous me détestez et c’est réciproque.

Lorsque j’ai découvert l’Internet haut-débit, j’étais innocent, naïf. Je téléchargeais pour découvrir et, si j’aimais bien, j’achetais le CD. J’ai découvert énormément de musique via les réseaux pirates. Au hasard des mots-clés ou en suivant des recommandations. Au total, j’ai acheté légalement près de 200 CDs. Le premier groupe que j’ai rejoint sur Audioscrobbler s’intitulait « I still buy CDs ». Mais je le regrette. Et je demande à tout le monde de ne plus acheter de CD. Plus un seul.

Bériaux au Biéreau

Fanny Bériaux Il y a deux ans, quand Fanny m’annonce travailler à un album de Jazz, j’ouvre les yeux et je dis « ah ? » d’un air étonné.

Il faut vous avouer que je m’y connais à peu près autant en jazz qu’un prêtre hindou en saut en élastique. J’aime beaucoup Woody Allen, pour le reste, le Jazz, ça n’est quand même qu’une bande d’intellos qui se branle la nouille en fermant les yeux pendant des solos de quarante-deux minutes. Alors que le métal, au moins, ils hurlent en même temps. Rien à voir.

Je ne connais rien au Jazz, d’accord, mais je connais la voix de Fanny. J’attend donc l’album avec impatience.

FireSpoons : Tu le feras toi même

Les FireSpoons sont heureux de vous annoncer le lancement de leur première chanson, « Tu le feras toi même« , chanson inspirée par le billet « Je ne suis pas un numéro de hotline ».

Spéciale dédicace à toutes les cuillères de feu, surtout celles qui n’étaient pas au courant, ainsi qu’à tous les rousteurs amateurs. Dédicace « Joyeux Noël » à tous les lecteurs de ce blog, fidèles ou non, ainsi qu’à tous les geeks libristes. Mais trève de bavardage, place à la musique !

ogg
FireSpoons – Tu le feras toi même (format ogg Vorbis – 4,3 Mo)

Les oreilles n’ont point de barreaux

Ce n’étaient que quelques vibrations sur nos tympans. Et pourtant nous fûmes transportés, nous fûmes emportés sur une autre planête. Une cascade d’eau scintillante éclaboussait la mousse phosphorescente, les étoiles tombaient en tout sens. Tel était le pouvoir de la Musique.

Seul..

Quelques cordes gratées, un grillon sur une herbe, le vent s’engouffrant dans une cavité et vous obtenez une symphonie, une puissance capable de vous emmenez plus loin que vous ne l’imaginez, capable de vous faire oublier l’existence durant ce bref moment ou un frisson descend le long de votre échine et ferme vos paupières.

Ploumterview n°1 : Voyage vers l’Infini

David Schombert

David Schombert est un artiste, avec un grand A, qui a choisi de placer son oeuvre musicale sous licence Creative Commons. Vous êtes donc autorisé (et même encouragé) à faire des copies et redistribuer les morceaux qui vous plaisent le plus. Voilà pour la partie administrative[1].

David Schombert Par un beau matin, vous vous réveillez dans un lit qui n’est pas le vôtre. La pièce ne ressemble à rien d’humain. Par la fenêtre, vous assistez à l’aurore sur une planête étrange. La Nature s’éveille, chaque arbre, chaque fleur est un hommage à l’astre du jour.

Le spectacle vous coupe le souffle et vous comprenez que vous êtes loin, très loin, de la terre.

Vous levez les yeux, et regardez les étoiles, les nébuleuses qui vous appellent à revenir parmi elles, dans le vide de l’espace.
Et vous comprenez alors que vous ne serez jamais qu’un exilé. Dans un soupir, dans un sourire, vous reprenez votre quête, votre voyage vers l’infini

Notes

[1] Ultra romantique non ? Mais bon, il fallait le préciser

Faites de la musique en silence !

Je viens de télécharger la video « Le Batteur » (1,5Mo), une publicité des producteurs de musique et des sociétés de gestion des droits (rien que des grands artistes et mélomanes donc). Et bien, une fois n’est pas coutume, cette publicité m’a réellement convaincue. Elle me redonne l’espoir, elle a fait naître en moi le sentiment que, […]